Résumé:
Un patron retrouvé mort sur son bureau. Une association où tout le monde se déteste et pourrait être auteur du meurtre. Je me souviens bien de cette affaire. Quand je pense que certains croyaient qu’il dormait, le beau directeur… Elles sont nombreuses à l’avoir pleuré, ce serial lover. Paix à son âme !
La cuisine et le rock sont mes deux passe-temps préférés, lorsque je ne m’occupe pas de ma petite-fille adorée et surtout lorsque les assassins de la capitale, très ignorants des acquis sociaux, me laissent un peu de répit en dehors des heures légales de travail. Dans cette affaire, et pour une fois, j’ai dû faire le tri parmi de trop nombreux coupables potentiels. Aidée de mon jeune adjoint charmant quoique maladroit, je suis allée chercher le meurtrier là où l’on ne l’attend pas. Je n’ai pas hésité à soulever les tapis et la poussière, pour nager dans les eaux troubles de personnalités déroutantes. À force de tirer le fil de la pelote, la vérité a fini par éclater, mais pas sans éclabousser tout ce joli petit monde.
Commissaire Bombardier
Extrait:
— Bonjour Mademoiselle, je suis la commissaire Bombardier et voici mon assistant, l’inspecteur Holo. On nous a signalé un décès dans vos bureaux. Nous voudrions voir votre président ou la personne ayant la charge de le représenter s’il n’est pas là.
— Oui bien-sûr. Suivez-moi. Je vais vous conduire.
— Auparavant, amenez-moi auprès de la personne décédée, le directeur si j’ai bien compris ?
— Oui, c’est cela, Madame. Il s’agit de notre directeur : Marc-Antoine de la Chapelle. Son bureau est à l’étage. L’hôtesse quitte sa banque d’accueil pour précéder les deux policiers.
Sa jupe est si serrée que la fente, derrière, s’en trouve largement écartée. Est-ce pour ne pas craquer sa jupe ou parce qu’elle ne maîtrise pas encore ses douze centimètres de talon, toujours est-il que, la jolie hôtesse marche vite, mais à tous petits pas, ce qui lui donne une allure de poulette. Josiane Bombardier ne peut s’empêcher de penser au croupion de son canard. Quant à l’inspecteur Holo, lui aussi a les yeux braqués sur le postérieur avantageux, mais ses pensées sont aux antipodes de celles de sa patronne.
A propos de la comissaire:
Je me présente. Je m’appelle Josiane Bombardier et je suis commissaire de police. Mon auteure me décrit comme petite et grosse mais moi, je me trouve pas mal pour mon âge. Je fais ce que je peux pour résoudre des affaires de meurtres en tous genres et finalement, j’y arrive. Ah, j’oubliais ! J’aime le rock, les chats et ma petite fille Zoé.
Mon avis:
Je ne fais rien comme tout le monde une fois de plus puisque j’ai publié la chronique du tome 2 juste avant de faire celle du premier tome.
Cliquez sur la photo pour accéder à la chronique précédente:
Ces deux romans ont été pour moi des rayons de soleil, des énormes coups de cœur.
Je remercie énormément Catherine pour l’envoi de ces deux tomes des enquêtes de la commissaire et ils sont tout deux absolument incroyables.
J’ai découvert une grande auteure et une nouvelle saga fraîche,originale et dépayssante.
Imaginez un cocktail détonnant Agatha Christie+Candice Renoir+Agatha Raisin= Boum! Josiane Bombardier, de la bombe oui,oui!
La plume de l’auteure est géniale tout simplement, fluide, pleine de fraîcheur, une vraie pro du jeu de mots bref je suis sous le charme!!!
L’enquête est absolument passionnante!Je n’ai rien vu venir pourtant je suis très forte pour trouver les assassins 😉 mais l’auteure m’a baladée.
Tout démarre avec la découverte d’un cadavre, un homme a été empoisonné à l’amanite phalloïde.Cet homme n’est pas n’importe qui, c’est le directeur d’une association écologique.
Les romans de Catherine Secq sont merveilleux et je vous encourage à aller lire des extraits en cliquant sur l’une des photos:
Un gros gros coup de coeur aussi pour les illustrations, Je n’ai rien à ajouter de plus : ces livres sont des merveilles.
Retrouvez toutes les infos sur le site de l’auteure.
L’arme du crime:
L’Amanite phalloïde (Amanita phalloides), également connue sous les noms vernaculaires d’oronge verte ou de calice de la mort, est une espèce de champignonsvénéneux de la famille des Amanitaceae et du genre des amanites. Largement distribuée en Europe, Amanita phalloides est trouvée en association avec différents feuillus ou conifères. Cette espèce dotée d’une grande capacité d’adaptation a été introduite dans d’autres pays et continents, transportée sur des chênes, châtaigniers ou pins. Le sporophore (partie visible du champignon), apparaissant en été et en automne, est généralement verdâtre, avec des lames et un pied blancs.
Ce champignon toxique ressemble à de nombreuses espèces comestibles, augmentant le risque d’ingestion accidentelle. En effet, l’amanite phalloïde est connue comme l’un des plus dangereux champignons vénéneux. Cette amanite est d’ailleurs probablement en cause dans la mort de certaines figures historiques célèbres comme l’empereur romain Claude ou l’empereur du Saint-Empire Romain Germanique Charles VI.
Ce champignon a été l’objet de nombreuses recherches et de nombreux agents actifs biologiques ont été isolés. Le principal constituant toxique est l’α-amanitine, qui endommage le foie et les reins, souvent de manière fatale. Hormis le protocole testé par le docteur Pierre Bastien, il n’existe pas d’antidote reconnu officiellement. Le syndrome phalloïdien est le plus redoutable et cause 10 % de mortalité.
Un commentaire sur “Meurtre bénévole de Catherine Secq-Service presse”